Bardenas Reales
Balade du 26 au 28 mai 2012 (3 jours), organisée par • 36 photos
Après une première mise en bouche dans «l’enfer» pluvieux charentais, nous nous sommes laissés glisser vers le doux paradis des Bardenas.Trois merveilleux jours sous un beau ciel bleu, baigné par les odeurs de genêts, de pins et autres acacias, dans un calme que venait à peine perturber le doux ronronnement de nos motos.
Notre séjour à l’auberge fût quant à lui, bercé par plus de décibels dont l’origine s’est très vite avérée être une ambiance festive. Les fontaines ont coulé à flot avec leurs odeurs d’anis, de citron et formant pour certaines de belles couches d’écume qui venaient mourir sur nos lèvres desséchées. Serait ce la cause de la pénurie de fin de séjour …?
Nos deux nuits passées sur place ? Un souvenir inoubliable, bercées par le doux chant des Sirènes dont la mélodie de l’une d’elle m’a marquée à jamais !
Pour conclure, nous remercions Jacques et ses compagnons de route pour ce superbe week-end qu’ils ont réussi à mener à bien malgré les caractères bien affirmés de chacun.
M. le Président, vous pouvez les en féliciter et plus particulièrement l’organisateur.
Un grand merci.
Corine & José
Mon Ami François m'a aussi fait parvenir ce doux billet que je ne peux m'empêcher de vous faire lire. Merci à lui.voici une photo souvenir ! mais pour y arriver.....: partis sous un ciel incertain , nous arrivâmes sous un ciel tout plombé, avec un tout petit rajout de kilomètres car la machine de Pandorre , soit dit le Global Positionning System voulait nous égarer! Nous faire cela ,à nous les rois de la navigation, dixit le chef dit Jacquot
Donc voyage sans problème; après le repas des plus sympathique à ARNEGUY plongée vers une contrée extrêmement accueillante et fort aimable.
Mais ou sommes nous? es tu la? non TULEDA c’est par là!
OLITE invite mais ce n’est pas l’heure d’y aller!
Les éoliennes nous accueillent à pales ouvertes, les grands squelettes d’acier nous invitent, nous guident remuant leurs bras dégingandés toujours dans le même sens. Tapies sur le bord de la route les bodegas jouent les tapineuses mais nous résistons à leurs invites.
Nous voila arrivés et c’est le moment de l’affectation de nos suites et de la distribution des draps, sans les corvées.
Bientôt l’ heure du réconfort et nous nous hâtons vers le lieu saint ou la récompense de nos efforts nous attend: le bar est ouvert!
François
Photos
